
Jonathan Poneman (co fondateur de Sub Pop Records) : Tout le monde pensait que Sweet Young Thing était "the morceau". Puis on a été appelé par des gars qui en savaient plus que nous tous, et qui nous ont dit "Non non - c'est Touch Me I'm Sick". Ce single avait deux faces A - c'était énorme.
Nils Bernstein (publicitaire de Sub Pop) : Un des souvenirs que j'ai de Mudhoney est celui d'avoir été dans le camion d'un pote avec Mark Arm juste après que Green River splitte. Il m'a dit : "je suis en train de monter un groupe avec Steve Turner, et ça va être le meilleur que Seattle ai jamais vu". A peu près un an après ils sortaient Touch Me I'm Sick. Il avait totalement et entièrement raison.
Art Chantry (designer et "affichiste") : Difficile d'exprimer réellement l'impact que ce single a eu. Je me souviens la première fois que je l'ai entendu, j'étais en train de conduire dans Broadway, et cette chanson s'est mise à passer sur la radio. J'étais là : "qu'est ce que c'est que ce truc de dingue". Ca passait sur KCMU, et j'ai du me garer sur le côté pour écouter - je pouvais plus conduire.
Nils Bernstein (publicitaire de Sub Pop) : Un des souvenirs que j'ai de Mudhoney est celui d'avoir été dans le camion d'un pote avec Mark Arm juste après que Green River splitte. Il m'a dit : "je suis en train de monter un groupe avec Steve Turner, et ça va être le meilleur que Seattle ai jamais vu". A peu près un an après ils sortaient Touch Me I'm Sick. Il avait totalement et entièrement raison.
Art Chantry (designer et "affichiste") : Difficile d'exprimer réellement l'impact que ce single a eu. Je me souviens la première fois que je l'ai entendu, j'étais en train de conduire dans Broadway, et cette chanson s'est mise à passer sur la radio. J'étais là : "qu'est ce que c'est que ce truc de dingue". Ca passait sur KCMU, et j'ai du me garer sur le côté pour écouter - je pouvais plus conduire.
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